Ainsi les opérationnelles, les petites mains du travail connaissent ce dont elles ont besoin pour bien travailler et faire correctement ce qu’elles ont besoin de faire.
Je dis souvent : pas de défilé de mode de haute couture sans de délicates brodeuses qui travaillent dans l’ombre des projecteurs.
Au cœur de la question de l’autonomie, c’est la question de la confiance.
L’autonomie, la confiance sont au centre de toute bonne relation de travail.
Des questions à se poser :
Me fait-on confiance, m’autorise-t-on à faire, à changer certaines modalités de travail pour l’exécuter plus simplement, plus facilement ou de façon plus cohérente, plus efficacement ou pour l’améliorer.
Me donne-t-on suffisamment le pouvoir de décider, d’agir ?
Cela veut dire ai-je suffisamment d’autonomie pour être responsable de mon travail et choisir comment l’organiser ?
Comment puis-je retrouver la bonne latitude décisionnelle pour me sentir autonome ?
Selon vos réponses il est peut être temps pour vous de clarifier cela avec vos collègues, vos responsables afin de repositionner votre curseur d’autonomie.
Votre manager doit pouvoir vous faire confiance car sont rôle est de faciliter le travail, le réguler, le rendre viable et l’améliorer.